02 juillet

Etat des lieux du Grand Comble

A l'intérieur de l'église, les lambris chaulés ont été livrés et vont être très prochainement mis en place sur les cerces dont la structure est quasi terminée.

 

Sur le Grand-Comble, la couverture a été enlevée en grande partie et permet une analyse plus poussée avec les entreprises de maçonnerie et de charpente sur le travail a effectuer : quelles pierres vont être à remplacer / rénover, quelle structure en bois devra être remplacée etc...

 

Au final, peu de surprise par rapport au diagnostic de l'architecte, qui avait prévalu lors du montage  du dossier : ce qui avait été identifié comme à remplacer s'avère bien hors d'usage, et peu d'éléments nouveaux viennent s'ajouter à la liste des travaux à effectuer.

Vue générale des travaux sur l'église et ses échafaudages. La face sud de la couverture du Grand-Comble n'est pas encore déposée.

Dans l'église, la structure qui va supporter les lambris chaulés est quasi en place.

 

Les lambris ont été livrés et montés en haut de l’échafaudage : ils sont visibles le long du mur du fond. 

 

Vue rapprochée sur les lambris : ils ont été chaulés en atelier et ont une coupe en "langue de vipère" ce qui permettra de les ajuster en donnant sa forme courbée à la voûte.

La couverture de la face nord du Grand-Comble a été déposée en grande partie, et une très grande bâche verte a été mise à la place pour garantir l'étanchéité sur les éléments de charpente en dessous.

La mise en place / retrait de cette bâche prends presque 1h à 2 ouvriers couvreurs.

Vue de l'intérieur du Grand-Comble (la coloration verte est due bien évidement à la bâche...) : les pièces porteuses de charpente sont en bon état pour la plupart.

On aperçoit en bas de la photo les renforts en béton mis en place lors d'une campagne de restauration des année 1980.

 

En revanche, les sablières (pièces de bois supportant les chevrons et posées directement sur le haut des murs) sont pour la plupart très abîmées et devront être traitées.

 

Vue rapprochée d'une sablière.

 

Les dégâts sont dus autant aux infiltrations qu'aux champignons et insectes.